dimanche 13 janvier 2008

UNIQUE . ÙNICA (Rio août 2007)

Sur la plage de Copacabana, 300 mètres environ de sable fin, séparent les premières vagues du large trottoir où déambulent, promeneurs, joggers, cyclistes....
Sauf en un endroit où cette distance se réduit à une cinquantaine de mètres, et où s'agglutinent, exhibitionnistes et ...voyeurs....
En sortant de l'eau, elle provoquât sourires et commentaires plus amusés que réellement offusqués. En effet, si la différence ente nu et "habillé" est souvent aussi infime que le morceau de tissu qui en masque la pointe, au Brésil, "on couvre ce sein".
Elle avait la beauté un peu lourde de ces Brésiliennes qui, durant un temps, n'ont pas pris garde au contenu de leur assiette, plus préoccupées de savoir si celle-ci avait un contenu..., ont peut-être donné à la lumière* très tôt, et n'ont pas accès à la chirurgie esthétique...
Métisse, son visage disait nettement, que sa grand mère, sa mère qui sait?, avaient dans la même tenue, plongé dans les eaux troubles du rio Amazonas.
Je ne l'ai pas dessinée parce qu'elle était belle, mais simplement parce que, et pour toutes ces raisons, elle était unique....


*"Dar a luz": accoucher en Espagnol.

En la playa de Copacabana, mas o menos 300 metros de arena fina separan las primeras olas del ancho acera donde pasean, paseantes, joggers, ciclistas...
Excepto en un lugar donde esta distencia se reduce a una cincuentena de metros , y donde se aglutinan exhibicionistas y ....mirones (voyeures)
Saliendo del agua, provocó sonrisas y comentarios mas divertidos que realmente choceados. En efecto, si la diférecia entre desnudo y vestido es frecuentamente tan infima que el pedazo de tela que esconde su punta, a Brazil "se cubre este pecho"*.
Tenia la belleza un poco pesada de estas Brasileiras quien, durante una epoca, no tuvieron cuidado al contenido de sus platos, mas preocupadas saber si este plato tenia un contenido....quizas diaron a luz muy jovenes, y, no tienen acceso a la cirugía estética...
Mestiza, su rostro decia claramente, que su abuela, quizás su madre, habian en la misma ropa, saltado en las aguas turbias del rio Amazonas.
No la dibujé porque estaba hermosa, pero sencillamente porque, y por todas estos motivos, estaba única....


* (en el "Tartuffe" de Molière)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

’Tain, enfin des pages DESSINÉES ! Aaah, voilà qui m’intéresse. Yo yo yo !